Les élèves de 5ème B et 5ème D du collège Paul Bert vous ont proposé 32 articles. Ce blog va s'interrompre pour cette année. D'autres élèves le poursuivront peut-être à la rentrée prochaine.
Les élèves de 5ème B et 5ème D du collège Paul Bert vous ont proposé 32 articles. Ce blog va s'interrompre pour cette année. D'autres élèves le poursuivront peut-être à la rentrée prochaine.
Iqbal : un enfant contre l’esclavage
Roman
Auteur : Francesco d’Adamo
Editeur : Hachette jeunesse
Collection : Le livre de poche, Histoires de vies
Année d’édition : 2002
Nombre de pages : 189
Illustration : non
Thèmes : amitié et histoire vraie
Résumé du livre
C’est une jeune fille, Fatima, qui raconte l’histoire de ce livre, celle du jeune Iqbal et c‘est une histoire vraie. Tout commence par l’histoire de Fatima. Elle parle des différences entre le Pakistan et l’Italie. Au Pakistan, ses maîtres la maltraitaient alors qu’en Italie elle est respectée. Puis elle raconte sa vie au Pakistan. Elle travaillait dans une usine de tapis avec ses amis, le petit Ali, Maria, Karim, Salam et d’autres. Ils étaient des enfants travaillant sur des métiers à tisser. Leurs conditions de travail étaient abominables. Un jour, un jeune homme du nom de Iqbal arriva dans l’usine. Il travaillait plus vite et mieux que les autres. Hussein, leur maître, l’ayant remarqué, lui donna à réaliser un des tapis les plus difficiles. Quand les acheteurs du tapis arrivèrent, Iqbal, avec des ciseaux, le coupa en deux, par provocation. Hussein, en colère, envoya Iqbal au tombeau : c’est une salle redoutée par tous car elle est sombre et lugubre. Fatima, qui avait de la sympathie pour Iqbal, lui amena de la nourriture et de l’eau tous les soirs. Trois jours plus tard, Iqbal revint du tombeau. Il remercia Fatima et annonça que Hussein ne les laisserait jamais partir et qu’il fallait s’enfuir. Tous se réunirent plusieurs fois pour en parler. Un matin, Iqbal disparut. Fatima en conclut qu’il s’était enfui. Hussein Khan, en colère, fit travailler tout le monde une heure de plus tous les soirs. Pendant ce temps, Iqbal se cachait dans le souk. Alors qu’il était au marché, il vit des gens rassemblés autour d’une personne qui criait : «A bas l’exploitation des enfants dans les usines !» Des policiers passèrent et Iqbal leur raconta ce que Hussein lui faisait à lui et aux autres. Il les mena à l’usine mais, avant qu’ils n’aient eu le temps d’arriver, un homme était allé prévenir Hussein de leur venue. Alors Hussein cacha les enfants au tombeau. Les policiers, ne voyant pas les enfants, allèrent voir Hussein. Fatima aperçut du tombeau Hussein donner de l’argent aux policiers. Peu après, Hussein mit Iqbal au tombeau puis cria aux autres enfants de travailler. Dès qu’il sortit du tombeau, Fatima et Iqbal parlèrent de sa prochaine évasion. Le lendemain matin, Iqbal revint avec Eshan Khan qui les délivra tous. Seuls Fatima, Maria et Iqbal restèrent avec Eshan Khan. Ils allèrent libérer des centaines d’enfants. Iqbal partit en Suède et aux Etats-Unis pour faire des discours car, après avoir accompli tant de choses, tout le monde le connaissait. Iqbal, revenu dans sa famille au Pakistan, mourut assassiné à Pâques en 1995.
Mon avis :
Je trouve qu’au début ce livre n’est pas intéressant car il n’y a pas beaucoup d’action. Ce n’est pas captivant car la narratrice, Fatima, décrit l’Italie et sa vie là-bas ainsi que le Pakistan et cela n’est pas très vivant. Après, vers le quatrième chapitre, cela devient nettement plus attrayant car le personnage principal, c’est-à-dire Iqbal, arrive dans l’usine de tapis. Là, les péripéties sont de plus en plus nombreuses et cela est vraiment mieux. On s’attache plus au livre et on tient vraiment à lire la suite.
Appréciation :
JJJL
Stella Hortense, 5B